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virginiland

Quant tout part en cacahuètes...

... je ne vois qu'une seule recette : un retour aux sources, pour revenir à l'essentiel !


On ne peut pas empêcher le monde d'aller mal. Tout comme on ne peut empêcher un ami, un collègue, un conjoint... d'aller mal. Ce que l'on peut faire en revanche, c'est être là, être présent, soutenir, accompagner.


Ce que l'on peut faire aussi – et qui relève de notre responsabilité, individuelle et collective ! - c'est faire en sorte d'aller bien, nous-même. Prendre soin de nous, de notre santé et notre bien-être, physique, émotionnel et psychologique.





En prenant soin de nous, nous prenons soin des autres, nous prenons soin du monde.


Parce que... Est-ce en ruminant (tout) ce qui ne va pas sur cette planète ?

En focalisant notre attention sur les conflits, les tensions, l'insécurité,


Bref, est-ce en nous nourrissant de peur, d'anxiété et de colère que les choses iront mieux ? Et que nous, nous nous sentirons bien ?


Oui évidemment, je suis affectée par le contexte ambiant, et c'est peu de le dire pour l'hypersensible que je suis. Mais je refuse de céder à la désolation, au dégoût et à la noirceur. Je fais le choix de rester confiante, le choix de l'ouverture et de la joie. Et pour ça, j'ai plus que jamais besoin de me recharger, me ressourcer. Auprès de mes proches, de ceux que j'aime, et des personnes qui dégagent les bonnes vibrations que je recherche.


Et puis aussi, pour ça, je coupe la télé (je n'en ai pas, ça aide, c'est vrai !), je limite les réseaux sociaux et leurs flots d'infos (???) en continu. Je prends du recul, de la distance (le monde n'est pas QUE ça). Je privilégie les vrais échanges, les rencontres réelles, les partages authentiques.


Et puis j'écoute en moi l'appel de la nature. J'écoute et j'y réponds.

La nature est notre mère à tous, notre Terre Mère. Elle a tant à nous offrir. Un peu à l'image d'une maman vers qui l'on se tourne naturellement quand ça va moyen, ou quand ça ne vas pas du tout, la nature nous console, nous cajole, nous réconforte. Elle nous fait du bien.


J'ai besoin de la nature, de sentir le vent et le soleil sur ma peau, la terre sous mes pieds. D'écouter le grondement de l'océan, le bercement d'une rivière. Sentir la présence des arbres. Je me sens bien et complète au contact des éléments.


Parfois, lorsque je suis très affectée, ça prend plus de temps. Mais le résultat est toujours là : la nature soigne, apaise. Elle guérit. Et je me sens prête à retourner dans le monde, à prendre ma place et faire ma part, comme un certain colibri qui avait tout compris.


Prenons soin de nous. Faisons notre part pour contribuer à ce monde meilleur. Vibrons la confiance et l'amour, c'est la recette quand tout part en cacahuètes...


Et comme me le faisait remarquer ma fille « Ils ont rien compris. C'est pas comme ça qu'ils vont changer les choses ! ».

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